Cette auberge accueille les voyageurs épuisés comme les vagabonds surpris par le mauvais temps. Ainsi, se côtoient ici Élémentalistes et Démons, sous le regard attentif du gérant. Attention : aucune magie d'aucune sorte ne fonctionne en ce lieu.
Le bâtiment lui-même est plutôt imposant, du haut de ses trois étages –en comptant, bien sûr, le rez-de-chaussée ou se trouve la salle dite "de restauration". Lorsqu’on y pénètre, on entre dans une grande pièce chaleureuse – l’énorme cheminée située au fond d’y était peut-être pas étrangère, notons bien qu’elle ne fonctionne pas au printemps et en été -, souvent bondée, et ce quelque soit l’heure de la journée ou de la nuit. On y trouve une quarantaine de tables et un énorme comptoir derrière lequel siège l’aubergiste, surveillant ses clients avec attention, prêt-e à intervenir en cas de bagarre. Les cuisines sont accessibles par une porte, sans cesse ouverte, à quelques pas du comptoir.
Le(la) propriétaire des lieux engage une dizaine d’employés, de toutes races, afin de l’aider.
Aux étages, on trouve une petite vingtaine de chambres, simples, peu chères, mais confortables, louée au même prix quelque soit la personne –démoniaque, elamentienne ou que sais-je encore- qui la demande. Ces chambres ne sont pas pourvues de salle de bain, ni même de baquet, le(la) propriétaire estimant que, si on a vraiment envie de se laver, on n’a qu’à aller se baigner dans le lac qui se trouvait à quelques pas de là –on fournit la serviette. Si cela fonctionne très bien au printemps et en été, en hiver, cela a tendance à être plus rare…